Série L’Adultère « Kathleen » : (Partie 22). Mon Mari L’Avait Cherché, Il Avait Qu’À Assumer. (Épisode 3/3)

De retour au bureau vers 16 heures 30, je fus très fière de moi, mon patron ayant appris la bonne nouvelle par téléphone, me félicita et nous avions tous bu une coupe de champagne dans la salle de réception pour cette occasion. Jérôme le commercial me remercia car il venait d’apprendre que l’entreprise lyonnaise faisait partie de sa clientèle. Il toucherait donc 50% des commissions, le reste me revenant en prime à chaque commande passée par la société « Germain & fils ».

Seulement, lorsque j’étais rentrée chez moi, mon teint avait changé de couleur, mon sourire avait disparu et j’appréhendais la discussion que nous devions avoir. Guillaume se trouvant devant les fourneaux s’afférant à préparer le repas du soir, se rendit compte que quelque chose ne tournait pas rond. Il me demanda ce que j’avais, tout en continuant à remuer sa cuiller en bois dans la marmite en fonte :
— Ce n’est rien mon chéri, je suis simplement vannée, je vais me reposer quelques instants au salon, si cela ne te dérange pas.

Je me servis un scotch sec que je sirotais tout en cherchant comment j’allais avouer à Guillaume que je l’avais trahi. Je fus mal dans ma peau pendant tout le repas, mon mari m’avait expliqué en détail ses deux jours passés sans moi et me dit que je lui avais terriblement manqué et rajoutant : « Et toi ma chérie, je t’ai manqué ? » Ce fut à cet instant que je me décidai à lui dire ce que j’avais sur le cœur et qui me faisait une boule dans le ventre. Je regrette d’avoir pris ce ton sec pour lui annoncer la mauvaise nouvelle :
— Non Guillaume, je n’ai pas pensé une seule seconde à toi. J’ai rencontré quelqu’un.
— Quoi ? Que me dis-tu là, tu m’as trompé ?
— En quelque sorte, je n’ai pas couché avec lui mais j’ai flirté et j’étais à deux doigts de le faire. Il s’appelle Pierre-Louis et je pense que je le reverrai le mois prochain.

C’en était trop pour Guillaume qui ne savait plus quoi répondre, il était livide et posa sa tête dans les mains, les coudes sur la table.

Il n’osait même plus me regarder en face, ses yeux étaient humides, il était prêt à pleurer. De mon côté, je ne savais plus non plus comment faire, pourtant j’étais bien décidée à tout lui dire, il fallait que je lui explique. Ne sachant pas par où commencer, je lui racontai ce qu’il m’était arrivée chez « Germain &fils ».

Ma rencontre avec le père et les négociations que j’avais réalisées avec le fils afin d’obtenir le graal. J’étais parvenue à ramener avec moi, les bons de commande et la somme importante que j’allais gagner tous les mois. Guillaume m’écoutait sans m’interrompre, je voyais bien qu’il ne comprenait pas, son état s’améliorait au fil de mon récit. Il ne savait pas où j’allais en venir car dans tous mes propos, il n’y avait eu aucun signe d’adultère :
— Et bien c’est parfait ma chérie, tu es une vraie championne, je suis fier de toi.
— N’en soit pas si fier Guillaume, ma commande je l’ai gagné probablement avec mon cul. Répondis-je fermement.

Ce fut à cet instant que je lui expliquai comment Pierre-Louis m’avais coincée dans les toilettes et que j’avais pris plaisir de ce moment-là et que j’étais à deux doigts de me jeter sur lui. Puis ma soirée au restaurant et au cinéma pour finir par ce baiser dans la voiture avant d’aller me coucher, malheureuse qu’il ne soit pas monté avec moi. Son teint était redevenu pâle, ne sachant que dire, il continuait d’écouter la suite. Mes envies de faire l’amour avec lui avant de monter dans le train et mon rêve érotique dans le TGV. À la fin de mon histoire, ce fut un grand silence pesant, je m’attendais à une réaction violente de sa part mais elle n’arriva jamais :

— Que dire de plus Kathleen. Je t’avoue, je pensais que tu me trompais depuis bien longtemps.
— Ça ne te fait pas plus mal que cela ? M’aimes-tu vraiment ? Si tu le pensais, tu n’avais donc pas confiance en moi ?
— Je te connais suffisamment pour savoir que sexuellement je ne te contente pas.
Je sais que je suis responsable.
— Ce n’est pas faute de t’avoir averti, rappelles-toi mes propos ? Tu m’as dit un jour de prendre un amant.

Il se leva me pris dans ses bras et m’embrassa. J’étais contre lui, je sentais que tout ce qu’il avait entendu l’avait excité plus que jamais. Il bandait le salaud en m’écoutant. Il se frotta encore un peu plus contre moi tout en mimant l’acte d’amour. Il poursuivit après notre baiser :
— Je ne veux pas te quitter, tu peux prendre des amants mais je te demanderai toujours de me donner les détails de vos joutes sexuelles. Cela m’excite au plus haut point.
— Je le ressens bien, tu ne bandes jamais autant même lorsque je te prends en bouche.

Ce soir-là, il m’avait une nouvelle fois fait l’amour sur la table mais ne pouvant pas se retenir plus longtemps, j’attendais encore mon orgasme. Lui au contraire n’avait jamais autant éjaculé, il m’avait littéralement rempli le vagin de son sperme. Avant de m’endormir, j’avais envoyé un mail à Pierre-Louis, lui signifiant que je venais bien à Lyon le mois prochain et comme convenu, je passerais la nuit avec lui. Sa réponse ne tarda pas, à croire qu’il attendait mon message devant son écran. Il était ravi de cette décision et me proposa de venir chez lui plutôt qu’à l’hôtel.

Tout était prévu, il viendrait me chercher au train et m’emmènerais directement prendre le déjeuner avant de finir chez lui le reste de l’après-midi. Pas question de travailler ce jour-là, les retrouvailles devaient être grandioses me promit-il. Notre nuit sera, des plus courtes, avait-il rajouté. À en croire ses propos, Pierre-Louis était un homme robuste et plein de ressources. S’il disait vrai, j’allais prendre plusieurs orgasmes pendant les 24 heures passées en sa compagnie. Ce n’était pas pour me déplaire.

Si pendant les premiers jours suivant notre rencontre, les conversations avec Pierre-Louis ne portaient pas sur le sexe, cela restait bon et amusant, nous parlions de tout en ne manquant pas de nous envoyer des : « bisous » à tout bout de champ.
Dès le lundi soir suivant Pierre-Louis m’avoua qu’il ne pensait qu’à une chose, me faire l’amour toute une nuit, il désirait me donner du plaisir comme jamais je n’avais eu et rajouta qu’il avait rêvé qu’il me sodomisait.

Cette pratique, était pour moi taboue, j’avais essayé dans ma jeunesse et j’avais eu tellement mal que je n’avais jamais recommencé. Je lui avais tout raconté en détail et m’avait certifié que pour qu’une sodomie soit réussie, il fallait qu’elle soit bien préparée. Trois jours plus tard, je reçus un colis provenant de mon futur amant. À l’intérieur de la boite, j’eux l’agréable surprise de recevoir trois beaux petits bijoux. Des plugs anaux magnifiques acrylique effet cristal pourvus d’une base plate et large, de différentes tailles XS, S et M. Ces petits jouets sexuels étaient, suivant la notice, destinés à stimuler le plaisir anal et à préparer la pénétration d’une verge en érection.

Le soir même, après que Guillaume se soit endormi, je me mis du lubrifiant et avais inséré le plus petit, dans mon anus. Au début, j’étais réticente mais au cours de ma masturbation, je m’étais aperçue que cela avait ren mon plaisir. Le lendemain j’avais décidé le porter au travail, pendant la première partie de la matinée, assise sur ma chaise je trépignais de plaisir, mais lors de la pause-café, j’eus l’impression que j’avais des difficultés à le conserver en moi. Par peur de le sentir quitter son emplacement, je l’avais retiré mais dès le début de l’après-midi, je l’avais remis en place.

Vu le plaisir que me procurait ce plug, depuis ce jour j’en portais un toute la journée, j’avais changé de diamètre toutes les semaines et pour ma venue à Lyon j’avais dans mon rectum, la taille M d’une longueur de 8 cm pour un diamètre 4,7 cm.

Ces trois semaines furent très longues, heureusement, j’avais commencé par découvrir ce nouveau plaisir solitaire et cela me plaisait beaucoup. Je n’avais plus eu de rapport sexuel avec Guillaume, pendant les deux premières semaines et le lundi soir avant mon départ pour Lyon, j’avais vraiment hâte de faire l’amour avec Pierre-Louis.
Ce soir-là, nous étions dans le lit nus tous les deux lorsqu’il me redemanda de lui raconter ce que je ferais avec mon amant. Pour le faire saliver et probablement par méchanceté, je lui annonçai comme il voulait tout savoir qu’il allait m’enculer. Je me retournai en écartant mes fesses, je lui montrai le plug que j’avais mis avant de me masturber.

Ce sextoy fit monter la température, ce fut incroyable, d’un seul coup, sa verge se retrouva au garde à vous, il bandait comme un cerf. Excité par ce que je venais de lui dire et par ce jouet qui était dans mon anus, il me prit par les hanches et m’avait possédée par derrière comme jamais. Malheureusement, une fois encore il éjacula abondamment mais bien avant que je prenne mon plaisir. Je lui avais demandé de rester en moi encore quelques instants pendant que je me finissais avec mes doigts. Mes muscles se resserraient et j’avais la sensation d’une double pénétration, ce qui me procura un réel orgasme.

Ce jour tant attendu était enfin là, dès la sortie du train, je sautai au cou de Pierre-Louis qui m’attendait sur le quai, il m’avait tellement manqué que notre baiser dura une éternité. J’étais survoltée, pleine d’excitation et lorsque je lui dis que j’avais en moi le petit cadeau qu’il m’avait envoyé, j’ai vu dans ses yeux toute sa joie. Nous n’avions pas tergiversé, nous n’avions pas fait de préliminaires, il était déjà prêt, son érection était visible avant qu’il baisse son pantalon. Il m’avait relevé ma jupe, je m’étais penchée en avant, les mains posées sur la table basse et m’avait pénétrée la chatte déjà bien mouillée. Nous avons fait l’amour ainsi simplement, malgré cela je pris un véritable orgasme digne de ce nom. J’ai su à cet instant que je ne pourrais plus me passer de lui :
— Tu es géniale Kathleen, je sais que nous allons nous entendre.
— Toi aussi mon petit chéri ! J’espère que nous n’allons pas en rester là. J’ai besoin de beaucoup de sexe et je suis prête à satisfaire tous tes désirs.
— J’essayerai moi aussi de réaliser tes fantasmes à commencer faire l’amour dans des toilettes.

Cela n’avait pas tardé, après avoir bu le café et m’être installée dans son appartement, nous nous sommes retrouvés au restaurant. Au moment du dessert, mon plug me stimulait une nouvelle fois. Pierre-Louis me voyant me trémousser sur ma chaise avait compris, il me fit un clin d’œil et quelques minutes plus tard, il me baisait sauvagement dans les WC au risque de nous faire surprendre par les clients. Ce fut génial, je n’avais jamais pris mon pied de la sorte. Cet endroit insolite, le fait de pouvoir être vu et le plug dans cul, avaient décuplé mon orgasme.

Lorsque nous sommes rentrés, une sieste s’imposait, nous nous sommes endormis tous les deux jusqu’à 17 heures. Après avoir bu un café bien corsé, nous nous sommes recouchés et nous avons une nouvelle fois fait l’amour avec cette fois-ci d’énormes préliminaires. J’avais vécu un 69 mémorable qui s’était tellement éternisé que j’en avais joui une nouvelle fois sur son visage. Pierre-Louis en était ravi et en avait même ri d’avoir reçu ma jouissance sur le visage.

Puis je m’étais déchainée, comme si c’était la dernière fois que je baisais. À cheval sur lui, mon bassin et ma croupe s’activaient à pleine vitesse sur sa queue, il poussait d’un coup de rein à chaque fois que mes fesses rentraient en contact avec ses abdominaux, il me remplissait le vagin et je sentais mon plaisir revenir à grand pas. Lorsqu’il m’attrapa pour me coller à lui en m’envoyant son sperme par saccades pendant que je prenais un nouvel orgasme. Nous sommes restés ainsi pendant de longues minutes avant de prendre notre douche, où il me fit un petit lavement.

J’avais compris, ce qu’il m’avait promis allait se passer, j’allais prochainement me faire sodomiser. Le soir, nous sommes sortis comme deux amoureux, il m’avait présenté à tous ses amis garçons et filles en disant que j’étais la meilleure chose qu’il lui était arrivée et qu’il désirait que cela se poursuive encore longtemps. Ces mots me faisaient chaud au cœur, je ne savais réellement pas si Pierre-Louis m’aimait ou s’il avait trouvé en moi une partenaire de sexe idéale. Pour moi, j’étais dans une situation similaire, je ne connaissais pas encore mes vrais sentiments pour lui.

Lorsque nous sommes arrivés en discothèque avec plusieurs couples de ses amis, le videur nous installa dans le grand box que Pierre-Louis avait réservé. Après m’être défoulée sur la piste de danse avec plusieurs de ses copines, j’étais retournée vers mon amoureux qui me fit me mettre à califourchon sur lui. L’endroit était dans la pénombre, nous nous embrassions à pleine bouche pendant qu’il avait passé ses mains sous mon petit débardeur, me malaxant les seins et m’excitant les mamelons qui se tendaient sous la pression de ses doigts. Le désir remontait une nouvelle fois.

Nos quatre couples s’afféraient à des caresses intimes, ne s’occupant pas des danseurs se trouvant à quelques pas de nous. Pierre-Louis bandait de nouveau, je le sentais contre moi. Il me fit me retourner, me releva la jupe pour pouvoir baisser son pantalon sans être vu. Il me retira le plug ancré dans mes fesses et le mit dans sa poche d’où il prit un lubrifiant qu’il me passa sur l’anus tout en le faisant pénétrer. J’étais terriblement excitée, toutes ces minutes passées en pensant qu’il allait m’enculer ici devant tous ces gens m’avaient mise dans un état sans pareil. Il plaça sa queue à l’entrée de mon orifice étoilé et me dit à l’oreille :
— Descends à ton rythme. Es-tu prête ?

Sans lui répondre, lentement, je faisais pression, son gland rentra sans peine et surtout sans douleur à ma grande surprise, je descendais encore, mon sphincter entièrement dilaté avait permis à Pierre-Louis de prendre possession de mon cul jusqu’à la garde. Je descendais et montais lentement en appuyant sur mes jambes pendant que sa main était sur ma chatte et ses doigts jouaient avec mon clito ou me pénétraient la fente. La situation était d’autant plus surprenante et très excitante, faire l’amour en public était une excellente expérience qui décuplait mon plaisir. Nos voisins voyant ce que nous étions en train de faire, n’hésitèrent pas à nous imiter. Je me retins de crier lorsque je jouis en me mordant fortement la lèvre inférieure, pendant que mon amant se vidait lui aussi dans mon rectum.

Nous étions rentrés de discothèque vers 3 heures du matin, nous nous sommes endormis immédiatement épuisés tous les deux par nos jouissances successives de toute la journée et de la soirée. Le lendemain matin au réveil, je ne pus m’empêcher de le caresser et de le sucer, j’avais encore envie de me faire sodomiser, j’avais trouvé cela génial et voulais renouveler l’expérience de la veille. Ce fut dans la position de la cuiller qu’il me prit et je connus un nouvel orgasme inondant les draps. Ce fut avec une grande tristesse que j’avais quitté Pierre-Louis qui commençait à prendre une grande importance dans ma vie.

Dès mon retour, Guillaume n’attendait qu’une chose, il voulait entendre tous les détails de mes rapports sexuels que j’avais connu avec mon amant. Me voyant réticente, il insista lourdement. Il me répugnait, je ne voulais pas rester avec lui, à cet instant ma décision était prise. Je lui répondis brusquement :
— J’ai baisé de nombreuses fois comme jamais, Pierre-Louis m’a même enculée deux fois et j’ai adoré. Dès demain, je cherche un appartement et je te quitte.

Quinze jours plus tard, avec l’aide de mon patron, je déménageais. Depuis ce jour, je rejoignais Pierre-Louis tous les week-end et nous faisions l’amour plusieurs par jour. Malheureusement, pendant le confinement, je n’avais pu me déplacer, ce qui m’avait vraiment fait beaucoup de mal, il me manquait trop. Heureusement, dès le mois de mai, nous nous sommes retrouvés et faisions l’amour comme des fous. Il me couvrit de cadeaux, m’avait offert une bague magnifique et m’avait renouvelé toute ma garde-robe prétextant que mon style « bourgeoise » me vieillissait. Pierre-Louis m’aime d’un amour avec un grand A.

Après m’avoir présenté officiellement à sa famille, j’ai passé deux semaines de rêve avec lui en vacances et en rentrant, il me proposa de venir vivre chez lui à Lyon, j’aurais même la possibilité d’avoir un emploi dans son entreprise. Si je ne lui ai pas encore donné de réponse, ma décision est prise, s’il le désire vraiment, j’irai le rejoindre à la fin de l’année, lorsque mon divorce sera prononcé.

Chères lectrices et chers lecteurs, n’hésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Kathleen, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!